Garden Party
Danse jeune et tout public / 2 ans et +
« Fantaisie chorégraphique pour célébrer la nature »
Forme pour salles non équipées ou peu équipées
(Salles des fêtes, écoles, musées, salles polyvalentes, médiathèques, etc…)
Garden Party, Garden Party est une « verte poésie » !
Et si le lapin d’Alice était un lapin noir et pas blanc… Avec cette fantaisie chorégraphique, nathalie cornille, nous invite à rejoindre l’univers des oiseaux, des jardins, des fruits et des légumes, des fleurs etc… Du vrai et du faux, du trompe l’œil à l’attrape-mouche !
Une envie, encore et encore, de créer un univers poétique, de le partager et de donner envie, à chaque spectateur de s’entourer d’une nature riche et généreuse, d’éprouver le plaisir de s’allonger dans l’herbe, de flirter avec un brocoli ou un artichaut, de converser avec les oiseaux, de se cacher dans un pot, d’être couronné d’eucalyptus, de chatouiller du romarin et de s’enivrer de l’odeur du basilic…
La danse naît de l’envie d’un duo avec un objet du jardin, d’en faire un partenaire de scène, de le sublimer, de le révéler autre.
« Garden Party » c’est le plaisir de découvrir ou de redécouvrir les moments précieux du répertoire de la compagnie. C’est une pièce qui revisite un joli parcours, qui offre les émotions toujours intactes de la poésie chorégraphique de nathalie cornille.
Plus c’est insolite, plus on rêve et plus le plaisir est présent. Il suffit parfois d’un tout petit rien pour déclencher une grande histoire de tête en l’air !
Destinée à tous, avec une attention particulière au très jeune public, cette pièce se veut autonome techniquement afin de permettre la rencontre avec un lieu équipé ou non équipé, (école, salle des fêtes, musée, théâtre, médiathèque, etc…) au plus près des spectateurs, dans un partage généreux et sensible.
Les installations plastiques de Jean-Jacques Lefevre, fidèle compagnon de route de nathalie cornille, offre un écrin à une chorégraphie poétique et sensible. La scénographie conjuguée en duo a déjà permis de découvrir des réalisations contemplatives telles que les « nichoirs » du spectacle « Pépiements », la chambre de « dormir, rêver peut-être », ou l’origami géant du spectacle « Madame Butterfly ».
La danse voyage dans un monde imaginaire où les objets entrent en mouvement comme des partenaires de scène.
