Dormir, rêver peut-être 

 

 création 2021

 

 

 

danse jeune et tout public

2 ans et +

 

 




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Présentation

 

Un papier peint qui rappelle nos souvenirs de chambre d’enfant, 
un abat-jour qui tamise la lumière et nous rassure, 
un oreiller qui accueille nos joues pleines de sommeil, 
Une chorégraphie qui se promène entre rêve et réalité,
Tel est le décor de « dormir, rêver peut-être »,
la création qui nous invite à rejoindre la nuit et ses moments d'imagination et de poésie.
La danseuse ouvre son univers et partage ce moment de douceur et d’intimité peuplé d’images et de musiques.
 

 

« …J'appuyais tendrement mes joues contre les belles joues de l'oreiller qui, pleines et fraîches, sont comme les joues de notre enfance… »

Marcel Proust

A la recherche du temps perdu

Du côté de chez Swann

 

 

  

La chorégraphie du sommeil, mais quelle idée !?

 

 

nathalie cornille explore un univers où la place de l’imaginaire est infinie. Tant sur le plan chorégraphique que plastique, le lit, la chambre, les rêves, les odeurs, l’univers sonore, la solitude ou, au contraire, les grandes nuits collectives des vacances, des familles nombreuses et des copains de chahut.

 

L’écriture est multiple : chorégraphique, sonore, visuelle, plastique ; elle invite le mariage de la danse et de l'image tout en essayant de rendre une intimité qu’est habituellement celle de la chambre en ouvrant le « quatrième mur » au spectateur afin qu’il s’immisce doucement dans la pièce.

 

nathalie cornille s’appuie sur des fidèles de la compagnie, Jean Jacques Lefevre, plasticien constructeur (Pépiements, Zeste et papilles),  Eazyfeurz pour la création d’images.

 

L’espace est celui d’une scène. nathalie cornille accorde une importance essentielle au choc esthétique dans ses créations. L’émotion provoquée par l’image, auprès des plus jeunes spectateurs est un leitmotiv de la compagnie. La proximité n’est pas la priorité car la danse inscrite dans une image plastique impose un certain recul pour en profiter pleinement. Contrairement aux idées reçues, la création très jeune public ne rime pas forcément avec petite forme. Sans démesure, mais avec un minimum de conditions scéniques, le spectacle provoque des sensations dont seul le théâtre possède les secrets.

 

Une danseuse, dans un espace onirique et poétique, invite le public à partager ces moments intimes que sont, « l’heure du coucher », la nuit, le rêve, la profondeur d’un sommeil repoussé jusqu’au réveil.

 

La scénographie, empreinte complice de Jean Jacques Lefevre et nathalie cornille, est épurée et monochrome, un travail sur l’image, une couleur comme un langage, image contemporaine comme une peinture vivante.

 

nathalie cornille ouvre le chemin vers tous les possibles… vers les souvenirs, vers l’imaginaire, vers l’enfance et l’envie de caresser l’oreiller.

 

Le sommeil est indispensable au développement du cerveau et à la récupération corporelle. La pièce chorégraphique veut donner une vision douce, ludique et poétique de la chambre et de la nuit.

 

 

 

Partenaires

Co-productions : CNC danse, Le Vivat – Scène conventionnée d’Armentières, Ville de Grenay, avec le soutien de la ville de Petite-Forêt. La Compagnie Nathalie Cornille est subventionnée par la Région Hauts de France, le Département du Pas-de-Calais et Creative Europe, Fond Européen pour la Culture.

 

Avec le soutien de la Ville de Berck-sur-Mer, la Ville d’Outreau, l’Espace Culturel Georges Brassens de Saint Martin Boulogne et l’Espace Culturel Barbara à Petite Forêt.